Après Orléans Histoire et légende
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Ambiance sulpicienne
Que tu viennes de Reims ou de Noyon, puis Paris, tu a quitté Orléans, mais tu restes près de Jeanne d’Arc, à moins que ce soit elle qui continue de veiller sur toi.
- Quand tu longes la rive droite de la Loire, tu passes à Meung et Beaugency (donjon, tour César) que Jeanne a libérée avant d’infliger une deuxième grande défaite aux Anglais à Patay, le 18 juin. Ce sera leur Azincourt à eux.
- Un peu plus loin, Blois se déploie sur la rive droite du fleuve royal. En route vers Orléans, Jeanne y a séjourné deux nuits. Elle y pria en compagnie des tous les prêtres de la ville. Elle se fit faire une bannière, la communication prime quand on est en guerre. Ta bannière, à toi, marcheur de la paix, c’est ta coquille.
Avant de se mettre en route vers l’Est, elle y rassembla les vivres destinés à remonter le moral des Orléanais.
- Tours se souvient très bien de Jeanne. L'emplacement de la maison du grand bourgeois qui l’hébergea une partie du mois d’avril 1429 est encore visible, à deux pas de la place Plumereau, célèbre pour son quartier médiéval et les terrasses de restaurants.
Suite, deuxième vidéo et fin dans le prochain article.